LA LUMIERE DE LA CONSCIENCE SUPERIEURE EST LA JEUNESSE ETERNELLE

CONSCIENCE SUPERIEURE

SYNDROME DE LYELL

Un enfant plein de vie, très joyeux grandissait sans problèmes de santé mais un jour vers l’âge de huit ans, il manifesta des symptômes physiques qui troublèrent son père. Il arrivait qu’au cours de ses jeux ou de toutes autres activités, il se figeait pendant deux ou trois minutes en regardant fixement devant lui comme s’il percevait quelque chose. Puis, il racontait à ses parents qu’il voyait des images devant ses yeux ( clairvoyance).

Ces troubles passagers durèrent pendant un mois environ. Cet état finit par impressionner son père. Et, comme celui-ci avait une soeur épileptique il craignit que son fils fût atteint de la même maladie. Bien que la mère ne considérait pas cela comme un fait important, ils conduisirent l’enfant chez un neurologue (étant sous l'emprise néfaste du père).


Le père expliqua les symptômes de son fils au  médecin qui décida de pratiquer un examen neurologique, puis un électroencéphalogramme. Lors du diagnostic, la neurologue dit au père que l’enfant était atteint du petit mal, c’est-à-dire qu’il était épileptique et qu’il fallait lui administrer un médicament trois fois par jour. La mère qui était présente à la consultation ( il n'avait pas l'habitude de prendre des médicaments), s’assura qu’il n’était pas dangereux pour lui d’absorber ces médicaments. Le médecin répondit «non», mais elle pressentait que cela l’était.

Malgré cet avertissement intérieur, elle s’exécuta et fit absorber le médicament à l’enfant qui, dix jours plus tard, il commença à vomir. La mère téléphona immédiatement au médecin afin de lui demander si ce problème provenait de l’absorption des médicaments. Celle-ci répondit «non» et elle précisait de continuer à lui administrer sa prescription.

Une semaine plus tard il manifestait le «syndrome du Lyell», c’est-à-dire l’empoisonnement total des cellules du corps, cela atteignait tous les organes, les yeux, les cheveux, les ongles et la peau son corps était en sang.

Il fut immédiatement hospitalisé mais hélas, les médecins ne pouvaient rien faire pour lui. Je décidais de rester auprès de lui et je prodiguais les soins nécessaires jour et nuit. Après une semaine les médecins me dirent que cet enfant ne pourrait pas survivre à cet empoisonnement et me conseillèrent de le faire hospitaliser dans un autre hôpital. Je leur demandais s’il serait possible de rester auprès de lui , il me répondirent «non». Je décidais alors qu'il devait rester là où il se trouvait,  mais je n’acceptais en aucun cas leur verdict. Je savais qu’il guérirait et malgré la destruction des cellules du corps je le stimulais à réagir à la vie.

Avec l’accord du chef de service je pris des décisions pour le soigner, je ne permettais plus que l’on agisse selon la méthode de la médecine moderne ou conventionnelle. Je pratiquais les soins selon mon intuition et j'empêchais quiconque de l'approcher,(sauf de chef de la pédiatrie) tous les soins et les actions que je lui prodiguais me venaient naturellement. Même si le pédiatre me disait que je ne pourrais pas le nourrir autrement que par une sonde. Je l'ai nourri dans premier temps  avec un biberon, après j'ai cuisiné à l'hôpital de la viande.

Je leur ai demandé de bien vouloir extraire avec une seringue le liquide qui formait des cloques sur tout son corps, ils n' ont pas voulu. Le chef du service a fini par accepter pour  toute la partie basse de son corps  qui n'a pas été marqué par cet empoisonement des cellules (après 2 semaines).

Après trois semaines de combat avec la mort, je constatais qu’il était sauvé.

Je voyais le pouvoir de la Conscience Supérieure régénérer ses cellules et son corps reprenait un aspect normal. Je demandais l’autorisation de le sortir de l’hôpital, afin de continuer à le soigner à mon domicile. Ayant constaté que j’avais réussi à lui sauver la vie ( le Moi supérieur), les médecins ne firent aucune objection. Avant que je quitte l’hôpital les médecins me signalaient que ses cheveux ne pourraient pas repousser avant quatre ans ainsi que ses ongles et cils. Je devais venir en consultation deux mois plus tard.

Nous partîment dans notre chalet à Sainte Marguerite sur Mer en Haute Normandie.

Ne me préoccupant pas de ce que les médecins m’avaient dit, je continuais à le soigner selon les directives de la Conscience Supérieure ou de Dieu. Après un mois ses cheveux, ses ongles, ses cils repoussaient. Malheureusement puisqu'ils avaient laissé éclater les cloques sur la partie haute du corps cela a engendrées des cicatrices par contre le reste de son corps était intact.

Lorsque deux mois plus tard nous sommes allés à la consultation, les médecins ont été très surpris de voir sa métamorphose, ils étaient obligés de constater qu’il était en bonne santé.

Ils me dirent qu'il n'était nécessaire de revenir en consultation. Quelques temps plus tard sa santé  c’est parfaitement rétablie, puis son physique s’est développé tout à fait normalement.

Devant ce cas d’empoisonnement par médicament la médecine ne pouvait pas intervenir, elle était impuissante. Pourtant mon fils a maintenant 46 ans et respire la santé. Lorsque j’ai vu son corps en lambeaux, rongé par la destruction des cellules, je n’ai pas paniqué un instant, j’ai demeuré impassible et j’ai gardé la foi en sa guérison. C’est ainsi que j’ai pu constater combien le pouvoir de Dieu se manifeste même lorsqu’il n’y a plus d’espoir, il suffit de croire à la non existence de la maladie et d'avoir la Foi.

Pendant son séjour à l’hôpital les médecins prirent contact avec la neurologue. Celle-ci consulta le dossier de mon fils et elle constata qu’elle avait confondu son encéphalogramme avec celui d’un autre patient.

En réalité il n’était pas épileptique, il n’avait aucun problème de santé. Les images qu’il voyait devant ses yeux étaient simplement des visions du monde astral ou du monde immatériel comme nous pouvons en voir si nous méditons ou dans d’autres circonstances (clairvoyance). Voyez, combien d’erreurs peuvent être commises par l'obscurantisme (même si vous êtes milliardaire). Celui-ci gouverne la conscience des sens.


Laicité

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